C’est l’histoire sans fin, avis de tempête, parfois il pleut,
Parfois il pleut, avis de tempête, c’est l’histoire sans fin
De la tendresse des pluies de larmes d’or et d’argent
Merveilles passagères.
A la clé d’un songe
La souffleuse de vent fouille la terre charmille
Qui palpite du chant des oiseaux
Et des joies des fêtes dernières
Où l’esquisse d’une ombre emmène nos soleils vers l’émerveillement
Au cœur des rivières de fresques folles
Où les chemins claquent dans la joie du silence
Où à l’heure des traversées
Apparaissent les voix de la mémoire
Étrangement
Sans fracas
Qui réjouissent l’oubli des cœurs.
C’est l’envol d’une étincelle qui restitue l’écho des heures pétillantes.
Déjà brille le feu insolite
Et l’odeur du vent des pluies et des mots, de la terre au ciel,
Nimbe l’horizon de la force d’aimer
Qui se grave dans nos cœurs
Où s’éclaire le souvenir des silhouettes des vies cachées.
Fugitives
Elles existent libres.
C’est l’histoire sans fin, avis de tempête, parfois il pleut,
Parfois il pleut, avis de tempête, c’est l’histoire sans fin
De la tendresse des pluies de larmes d’or et d’argent
Fabuleuses prouesses.
Rita