LE DESIR
Quoi de plus beau que le désir de vie
Crié par l’enfant qui vient de naître ?
Quoi de plus grand, que le désir du vent,
Du soleil et de l’eau ?
Quoi de plus fort, que de t’entendre dire :
« Je te désire, Toi, maintenant ! »
Quoi de plus doux qu’un désir de caresse,
Un désir de tendresse, niché,
Au creux de ton épaule.
Cent différents désirs peuvent se bousculer.
Des plus nobles aux plus sombres,
Quelquefois peu glorieux.
Le désir nous conduit, bouillonnant, impérieux
Et s’efface vers l’acte,
Que la raison tempère.
Accéder aux désirs
Ce peut être une lutte
à l‘issue incertaine !
Mais tant que le désir me brûle,
Je sais que je vis
Désir et désireux d’être c’est stimulant. Merci
Votre texte et sa chute me parlent fort.