Seul, nu
chaos digne et difforme
de démons et génies
La liberté le feu les chemins délicats
la vie la profondeur les forêts intérieures
ce regard d’infinie tendresse
les monstres apprivoisés
seuls, nus
accueillir tout entier l’être qui s’articule
le meilleur et le pire
beau, seul, nu, fou.
Infinie de bravoure,
l’âme que tu retiens jusqu’au matin ultime du dernier paysage
dans ton abandon même il est là il se lit,
ce courage luisant dans ton regard sans tain
l’étang tiède et profond où rêve l’échassier
l’aurore aux longues ailes
au bec passager
l’étang sombre et profond
où baigne l’innombrable
figure de ton courage.
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